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SOUSSE-RECTORAT ET INSTITUT SUPERIEUR DE MUSIQUE-HAUTS LIEUX DE LARBITRAIRE

عبد الحكيم بوهلال

2012-09-09 12:04:22

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Un haut lieu de l’arbitraire universitaire
Et administratif :l’institut supérieur de
Musique de Sousse.
Universitaire tunisien ;enseignant chercheur d’histoire à la faculté des lettres de Sousse,bloggeur et militant social sous mon vrai nom depuis avant le 14janvier2011,créateur-animateur de plusieurs blogs dont la plupart furent censurés et interdits aux internautes.Je croyais comme tous les tunisiens que la loi de l’arbitraire n’aurait plus droit de cité après notre glorieuse révolution !!!
Mais la situation hors normes et atypique de ma fille unique,et le calvaire qui nous imposé de force,moi et ma famille,et que je voudrais vous exposer vous fera juge du pitoyable état de notre université tunisienne avec comme échantillon haut de gamme :l’institut superieur de musique pris en otage par son directeur atypique.
-Depuis sa nomination à la tete de l’institut ;le directeur seul maitre de conferences àbord jura de faire le ménage ;le grand ménage,ayant pour devise : « je vous ai tous à l’œil » !!!
-Il déclara la guerre à tous :enseignants tunisiens,et étrangers ;administratifs ; étudiants syndicalistes ou non,et commenca une « épuration stalinienne »qui tranforma l’institut en laboratoire de guerre psychologique experimental debouchant sur les médias(Hannibal.tv).
-Il fit le tri des enseignants,et priva ma fille de son professeur roumaine mutée de force à Tunis sans pour autant lui procurer un autre enseignant de meme ancienneté,et de meme expérience.
-Ses mesures expéditives transformerent l’institut en vrai « Goulag »,et provoquerent un tollé général necessitant une mobilisation non stop des enseignants,et des étudiants meurtris.
Le slogan « dégage » fut utilisé plus d’une fois,il n’hésita pas alors à intenter des procès à plusieurs enseignants pour »outrage » à sa personne,et pour « incitation à la désobeissance « demandant dommages et interets à un enseignant pour avoir utilisé l’adjectif « arbitraire »fixant le montant à70000 dinars ttc.
-Ma fille participa comme beaucoup d’étudiants à une émissionb de télévision « Bila Moujamala « insistant pour sa part sur l’abscence de dialogue,et le blocage de la situation à l’institut !!!
-Privée de son professeur de piano,délaissée à elle-même,elle ne bénéficia d’aucun encadrement en troisième,ce qui se répercuta sur son rendement,et son habileté reconnue à l’institut,et meme chez les visiteurs étrangers !!!
-Le feuilleton de reglement de compte démarra à l’occasion des examens de second semestre ses épisodes se succèdent sur un timing record :
L’enseignant « chadi Garfi » fils du directeur,encadreur de ma fille pour son mémoire de fin d’études n’hésita pas à accorder un zéro au mémoire de ma fille,étudiante syndicaliste pour raison de reglement de compte,et de solidarité clanique avec son père directeur,avec une promesse de recorrection,et de reévaluation après révision de quelques passages,puis renonciation,et refus total malgré la correspondance du recteur de Sousse(le père –directeur guidé par la loi du talion est entièrement d’accord et applaudit).
Le mémoire fut enfin reévalué par deux enseignants,la moyenne des deux notes est douze sur vingt qui fut pris en compte lors des délibérations du jury de la troisième année.
Après l’affichage des résultats,et la déclaration du succès de ma fille ;le directeur toujours guidé par sa soif de vengeance déclara au sécrétaire général de l’institut ;et aux responsables du service de scolarité qu’il n’accepte pas le douze accordé après recorrection ;et qu’il toujours au ZERO accordé par son fils « Chadi Garfi » par souci de règlement de compte !!!!
Le directeur retira le procès verbal du tableau d’affichage,fit son coup d’éclat et d’état,refuse de signer et d’émettre le diplôme,tout aussi que le relevé de notes pour l’empecher de s’inscrire dans les délais au master,soit à Sousse ;soit à Tunis,et savourer sa victoire planifiée de puis de longs mois !!!
Ma fille ayant participé avec quelques étudiants syndicalistes,une dizaine en tout,au Sit-In qui se déroula à l’institut du 3 au 17 juillet2012 couvert par moi-même,et quelque rares médias pour protester contre la violation des droits,et la mauvaise gestion(familiale)de l’institut eut droit avec ses amis menacant de se suicider du haut du toit de l’institut le7 juillet2012 le jour de la venue du ministre Ben Salem pour présider le conseil des universités à Sousse,profita avec eux d’une autre faveur :la convocation au conseil de discipline fixé au mercredi 5 septembre2012 à dix heures !!!!
Des convocations furent envoyées le 15 aout2012 par télégrammes,et non par lettres recommandées,alors que le Sit-In se déroula du3 au 17 juillet2012 sans avoir recu de questionnaires ;les griefs retenus par le Directeur sont :l’occupation de locaux(les étudiants occupent seulement le hall) ;perturbation du fonctionnement de l’institution(ce qui n’est pas vrai du tout surtout avec son directeur abscent,et son intérimaire le recteur ne visitant pas du tout les lieux !!!) ;tentative de suicide(comme s’il faudrait une autorisation pou le faire !!!),en passant sous silence qur le directeur a donné ses ordres pour couper l’eau,l’électricité,interdire l’accès aux journalistes ;et que la plupart des sit-inners bravant la chaleur ,et toutes ces conditions misérables étaient tenus de passer leurs épreuves théoriques ,et pratiques de la session de contrôle recalée au mois de juillet !!!
Le conseil du 5 septembre2012 fut tout simplement ajourné au 24 du mois par le directeur résidant à Tunis,ne se déplacant à Sousse que pour une seule unique journée,le reste de la semaine il légifére,et gére son entreprise par téléphone,son réseau de renseignement très étoffé s’occupe du reste.Son but principal non déclaré reste le blocage des interets des étudiants syndicalistes-sitinners qui ont osé le défier,et porter la situation de l’institut devant les médias »tunisiens »,et non étrangers ;la confiscation des diplomes,et des relevés de notes privent les étudiants convoqués au 5 puis au 24 de s’inscrire,et de suivre leurs cours,ils sont meme privés de force d’accéder à l’institut,propriété familiale.
L’AUTORITE DE TUTELLE CENTRALE ET DEPARTEMENTALE LAISSE FAIRE
SOMMES REELLEMENT EN SOCIETE DE DROIT
LE MINISTERE AURAIT IL DONNE LE COUP D’ENVOI A LA PRIVATISATION DES INSTITUTIONS UNIVERSITAIRES
ESSENTIELLEMENT L’INSTITUT SUPERIEUR DE MUSIQUE VERITABLE « GUANTANAMO » DE L’UNIVERSITE TUNISIENNE.

 




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